Sentez-vous une différence entre cette conversation :
- Ma chérie, je te trouve particulièrement en beauté dans cette robe
- Ah non, je trouve qu’elle me boudine… et je ne me suis même pas coiffée!
… et celle-ci ?
- Ma chérie, je te trouve particulièrement en beauté dans cette robe
- Hum, merci! Ça me fait plaisir. Et attends de voir quand je serais coiffée!
N’avez-vous pas l’impression que la première « invalide » le compliment, qu’elle le nie purement et simplement? Il est fort à parier que si cela se reproduit, l’auteur finira par arrêter d’en faire, qu’il finira par se décourager.